Cher Frère Joseph, je veux vous REMERCIER pour les moments merveilleux passés au camp Still Waters, le week-end dernier. Je ne peux pas exprimer combien je suis reconnaissant pour ce que vous avez fait pour moi, et plus important encore, pour mon petit garçon. Nous avons eu beaucoup de plaisir à pêcher, à jouer au paintball, à fraterniser avec nos amis, mais le plus important, nous avons eu des moments MERVEILLEUX avec le Seigneur. D’être là avec mon fils et faire l’expérience de ce que je crois vraiment être un avant-goût du Ciel, c’est pour moi quelque chose que je n’oublierai jamais, et je ne trouve pas les mots pour exprimer ma reconnaissance envers vous et envers tout le personnel qui, inlassablement, a tout fait pour s’assurer que notre séjour soit parfait, ce qui a été le cas.
Je suis revenu à la maison pour raconter toutes les histoires et les témoignages à ma famille, dont une en particulier que je voudrais vous raconter. Le samedi après-midi, j’étais sur le ponton avec mon fils, et comme nous nous promenions sur le lac, nous avons ralenti suffisamment pour que je m’assoie confortablement sur ma chaise pour admirer le paysage autour du lac. À ce moment-là, je pouvais voir les sœurs marcher sur le rivage, leur longue chevelure voler au vent et leurs jupes ondoyer. Pas très loin, j’ai vu des frères qui fraternisaient, qui parlaient du Seigneur. J’ai vu des enfants jouer, rire, alors qu’ils couraient sur les sentiers dans les bois. J’ai levé les yeux et j’ai vu un beau ciel bleu d’où la pluie aurait été censée se déverser. Le vent soufflait doucement, l’eau ondulait tranquillement, les oiseaux volaient d’arbre en arbre. Puis j’ai baissé les yeux et j’ai regardé mon fils qui était si heureux. J’ai pensé : “Dieu vit vraiment ici, et c’est un petit goût du Ciel.” Tout le monde là-bas était en harmonie, tout le monde était croyant, rien de négatif, tout le monde était heureux, des adultes qui agissaient comme s’ils étaient de nouveau des enfants, aucun souci, aucun tracas, que du bonheur. J’ai dit à ma femme : “Nous pouvons aller à bien des endroits dans le monde, comme les montagnes, l’océan, un ruisseau ou un torrent, et d’autres endroits où nous voyons la beauté et dire que nous voyons Dieu là-bas. Pourtant, il n’y a pas de doute que nous nous tournerions et verrions un mégot de cigarette sur le sol, ou une femme portant des shorts, ou nous entendrions un cellulaire sonner quelque part – et cela gâcherait le moment. Mais ce n’est pas le cas à Still Waters. Tout, des bouteilles de savon aux t-shirts que les gens portent, représente quelque chose à propos de la Parole. Le sol est impeccable, rien comme des mégots de cigarettes ou quoi que ce soit d’autre du monde. Pas de cellulaire, pas d’Internet, rien pour nous rappeler le monde; que de la communion sur la seule chose pour laquelle nous sommes là : la Parole.
C’est un moment que je ne voulais jamais voir se terminer. Merci pour l’effort supplémentaire de tenir un service de baptême pour nous. J’ai dit à ma femme combien ce qui s’est passé à la plage était une merveilleuse expérience. J’appelle maintenant ce moment “La prédication sur la plage”. Comme le Saint-Esprit a merveilleusement donné aux jeunes les grandes lignes sur le baptême et combien Sa présence était proche. L’aigle qui volait au-dessus de nous, pour moi c’était un moment de “Dieu répond” à ce que vous avez dit. Que Dieu bénisse Frère Samuel pour son endurance dans l’eau froide et pour son amour pour Son Épouse. Merci, Frère Joseph, et que toute gloire soit rendue au Seigneur Jésus, qui a donné Still Waters à Son Épouse, un lieu de repos, un lieu céleste sur terre en attendant Sa venue.